SAINTS ANONYMES (7)
SAINT LAZARE (… suite !).
J’ai
revu LAZARE tout
récemment (voir « Saints anonymes (3) »). C’est à son initiative, surtout pour
« aller plus profond » dans notre relation avec « Le Bureau
Chef », qu’il m’a invité à une bonne table voisine de l’agence Ile de
France de sa grosse entreprise.
Il
voulait que nous « partagions »
le « fil rouge » de nos longues trajectoires professionnelles, toutes deux fortement
« guidées » par notre
conviction, espérée inébranlable jusqu’alors de l’efficacité, de l’Autorité, et
de la Puissance Divine. Et pour tous deux, sous des formes diverses car les
« coups de grisou » n’ont pas manqué…
Certes, nous ne sommes pas issus d’une
photocopieuse. Nous sommes différents, surtout dans l’ampleur de la fécondité
sociale et économique de nos trajectoires. Il est le fondateur d’une entreprise
de 500 salariés environ. J’ai aussi « créé » des emplois, et
durablement. Mais seulement 5 … !
Bien cachés, nos points communs sont cependant nombreux, surtout dans le
domaine spirituel et mystique.
C’est dans notre souci, au
nom de DIEU pour lui, au nom de JESUS et de Son PERE pour moi, que nous considérons comme toujours prioritaires la dignité, le respect, et
le bonheur de ceux qui travaillent avec nous. La satisfaction de nos propres
attentes, y compris sur la résultante financière (à ne surtout pas négliger
« prudentiellement »), ne vient qu’après.
« Le
fric », quelque soit sa puissance toujours active, ne doit venir qu’après
la stabilité d’une bonne équipe du genre « rugbymen », face au
challenge commun, qui ne devrait être que celui de la pérennité du
« gagne-pain » commun, et de sa fécondité pour tous.
Je sais que je ne suis pas un saint et ne
le serai jamais en cette terre. LAZARE ne sait pas qu’il en est déjà un,
au moins à mes yeux, et probablement AUSSI sous le regard de DIEU. Autre
point commun, lui et moi ne seront jamais officiellement
« canonisés ». En matière de « canons », nous sommes tous
deux plus proches des bons verres que du Vatican. Cet aspect de la question ne
nous concerne aucunement.
Le
« pourquoi cette préférence » pour les gobelets et leurs nectars,
devrait poser un problème de fond aux « officiels » intéressés…Mais plus à moi et définitivement, sauf
mon adhésion totale au rayonnement de François 1er. L’inventeur du Ti-Punch comme notre pape
était un jésuite. Restent-t-ils respectueux de ce lointain et indiscutable
« apport civilisationnel », surtout dans un
les paradis que sont nos Caraïbes. DIEU en est aussi Le Créateur, Le Donateur
incessant …
Donc, en « bis »…
« C’est au fruit qu’on,
juge l’arbre… » « … ce ne sont pas ceux qui disent… mais ceux qui font… » Le « Patron » dixit.
Et j’ajoute ici « … tu ne jugeras pas… » La saveur des fruits, DIEU
seul peut la constater, l’évaluer, et aussi s’en réjouir et la savourer au plus
intime de tous Ses Enfants.
DANIEL
KOKA.