ÉTERNITÉ
PRÉSENTE (2)
(Mise
à jour, suite, en octobre 2015)
Son évidence croissante au tréfonds de mon être
m’amène à formuler ainsi les passages les plus signifiants de la Sainte
Messe :
- Le CREDO :
Je crois en toi, PÈRE
éternel et tout-puissant.
Tu es le créateur de tout l’univers et tu le maintiens
dans l’être par un incessant débordement de ta tendresse.
Je crois en JÉSUS le
Christ, Toi-même incarné en ton fils bien-aimé, exemple de la perfection que tu
ne cesses de nous proposer en toutes nos limites matérielles. Il est notre
Seigneur, et Sauveur de toutes les conséquences de nos débordements d’orgueil
si nous le voulons bien.
Conçu du SAINT-ESPRIT, il naquit de Maman Marie, fut
condamné à mort par CAÏPHE autorité religieuse suprême de l’époque, souffrit sa
passion sous Ponce Pilate, fut crucifié, mourut, fut enseveli et descendit aux
enfers.
Mais le troisième jour il
ressuscita des morts, comme
annoncé, monta aux cieux et s’assit à ta droite Père. Là « IL »
attend chacun de ses « petits frères et sœurs » pour confronter
toutes les conséquences de nos libres agir à l’infinie puissance de Votre Miséricorde.
Je crois en votre ESPRIT-SAINT
d’amour.
Par la communion des saints, il construit la Sainte Église universelle,
Par le pardon mutuel et la
rémission des péchés, il opère la résurrection de la chair,
Nous faisant ainsi entrer dans la louange d’abord, et
par elle dans notre vie éternelle dès aujourd’hui. Mais
seulement si nous le voulons bien.
La PREFACE :
Vraiment, PÈRE très saint, il est juste et bon
de te rendre grâce toujours et en tous lieux, par JÉSUS ton fils bien-aimé,
notre Seigneur et Sauveur.
Il est ta parole vivante par qui tu crées toutes
choses et tu ne cesses de nous l’envoyer, à chaque
seconde de notre vie, comme Rédempteur et Sauveur.
Dieu fait homme, conçu du SAINT-ESPRIT, né de
Pour ce faire, il étend
les mains à l’heure de Sa passion, et par Sa glorieuse Résurrection Il pulvérise la mort et nous donne Votre Vie Éternelle.
Voilà pourquoi PÈRE, avec les archanges, les anges et tous
les saints du paradis et de cette terre, nous chantons d’une seule voix l’hymne de Ta Gloire et de notre joie …
La CONSECRATION :
(Les
laïcs que nous sommes, même s’ils sont prêtres,
prophètes et rois par leur baptême, ne sont pas ordonnés. Le « pouvoir »
consécratoire est exclusivement réservé aux prêtres de JÉSUS. Pour ma part, je
considère que c’est très bien ainsi, du moins tant que nous aurons des prêtres
chez nous.
Mais rien n’empêche chacun d’entre nous de
réciter les paroles sublimes, en union avec tous les prêtres de la belle
planète bleue, et si possible en présence du Saint Sacrement.
J’ai ainsi constaté que la communion
d’intention, en réelle présence amoureuse mutuelle est aussi efficace que la
communion rituelle et sacramentelle dans une communauté qui en reste au minimum
hygiénique habituel en matière de communion fraternelle. Comment les minorités
persécutées, et il y en a tant à notre époque, feraient-elles pour
« tenir », si tel n’était pas le cas.
Vraiment, la générosité de Notre JÉSUS est
formidable…)
Au moment d’être livré et d’entrer librement
dans ta passion, Seigneur JÉSUS tu prends le pain, tu rends grâce, tu le romps
et tu nous le donnes en disant :
« Mes bien-aimés : prenez et
mangez-en tous. Ceci est mon corps livré pour
vous, livré par vous, au massacre de la Croix ».
De même à la fin du repas, tu prends la coupe,
de nouveau tu rends grâce et tu nous la donnes en disant :
« Mes chéris, prenez et buvez-en tous.
Ceci est la coupe de mon sang. Le sang de
l’alliance éternelle entre Dieu et les hommes. Sang que je verse pour chacun d’entre vous,
et pour la multitude à travers les siècles, en rémission de tous les péchés du
monde.
Ne manquez pas de faire de même en
mémoire de moi ».
Heureux les invités au repas du Seigneur !
Voici l’Agneau de Dieu. Voici celui qui enlève « LE» péché
du monde.
Père éternel, personne n’est digne de te
recevoir. Mais de toute éternité, tu dis « Le Verbe » qu’est ton
fils, et nous sommes tous guéris.
Si nous l’aimons.
(Dans plusieurs chapitres à venir, je développerai un
distinguo spirituellement fécond entre "LE"
péché, et "les" multiples
misères petites ou grosses de notre quotidien, qui n'en sont que
DANIEL-KOKA.
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