PRESIDENTIELLES (3).
Pour un
peu, je titrais "au secours" !
L'autre
matin, arrivant de très bonne heure devant l'accès à
L'auteur
vachard et amère de "l'Impasse" aurait-il viré sa cuti ? La douceur
du pardon l'aurait-elle envahi ? Le trotskyste farouche (mais caché...)
aurait-il été touché par la grâce divine au point d'abandonner le redoutable
dogme de la lutte des classes ? Bref, aurais-je ce matin-là comme compagnon
d'adoration, le "Hibou Effarouché de Sainte Gabelle" (totem à la
boy-scout que lui attribua Laurent Gerra...) ?
Je me
suis alors remémoré la pauvre, mais farceuse consolation que j'avais offerte à
quelques amis très proches dont je savais le paradis obstinément teint en rose
:
Ce
souffle d'amitié rigolarde me fit pousser la porte de la chapelle sans
appréhension.
Jésus y
était seul... Comme d'habitude. Hélas !
En
toute justice, je dois remarquer à la gloire de "mon New"
qu'"Il" est moins seul qu'il y a dix années... "Yoyo" en
notre chapelle, c'était le miracle !
DANIEL-KOKA.