NOËL 2010
Il me faut combler un oubli, et en
demander pardon au
« BUREAU-CHEF ». J’ai un
témoignage à partager. Ce sera simple justice.
J’ai vécu à l’occasion de Noël dernier un
évènement fabuleux, comblant… une formidable dose d’un bonheur de très grande
qualité. Ce type de cadeau est devenu si
rare à notre époque que la source
ultime, véritable, unique, y est clairement désignée… Voilà pourquoi je
« LUI » demande pardon, en m’interrogeant derechef avec force « … Pourquoi à moi… ? Pourquoi tant de cadeaux en formes de diamants
dont je discerne clairement l’absence chez la plupart de mes
contemporains… ? J’ai pourtant fait tant de bêtises tout au long de ma
vie… Et je continue… ! »
Novembre
2010 fut le 57e anniversaire de la déclaration de « ma flamme »
vers ma SUZON, dite Mamie SACLETTE aux côté de KOKA depuis que notre premier
petits-fils émit ses premiers balbutiements. Le 50e anniversaire de
notre passage devant M. le Curé local tombait également cette année là… Le sachant, nos enfants et petits-enfants
entreprirent, en secret quasi-total, la préparation d’un Noël inhabituel… Ils
louèrent deux chalets au CENTER-PARK de Sologne, et organisèrent dans le
moindre détail un WE prolongé auquel toute la famille fut conviée…
Un chalet fut attribué aux enfants, et
l’autre aux adultes plus chatouilleux en matière de décibels. Mon grand fils et
sa famille partagent mon addiction aux bénitiers, je suis allé à la messe de minuit avec eux. Cadeaux,
spectacles préparés par les petits et les grands, promenades paisibles,
baignades dans la bulle tropicale… que du bonheur !
Mais tous, du plus jeune aux plus âgés,
ont remarqué l’absence totale d’ombre au tableau. Tous s’aiment… Tous sont
heureux de se retrouver… Tous baignent dans l’amour de leurs parents, le partagent
et le redonnent. Tous perçoivent douloureusement, à l’école ou dans leurs
milieux de travail, les conséquences toujours dramatiques des comportements
amoureux contemporains à la mode « Kleenex » (… je me suis servi de
toi… je te jette !).
Merci…
Merci, mille fois Seigneur ! Et que Ta Puissance amoureuse daigne
continuer à se déverser sur eux... Comme sur tous tes enfants. Du moins sur
ceux qui ne la refusent pas.
DANIEL
KOKA.