CRÉATION…
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ATTENTION DANGER… !
Je réitère ma mise en
garde au profit des croyants pratiquants, assidus, qui reçoivent ainsi un bonheur quotidien
stabilisateur, dont la saveur de sérénité indique clairement « QUI » en est le donateur. La lecture de mes textes risque de les déstabiliser,
de remettre en question les bases de leur foi. Je la partage avec eux et je
sais, comme ils le savent, « QUI »
est le donateur de « Ce Bonheur-là ». Pour eux comme pour moi, une petite porte du paradis est déjà
ouverte. Il nous est souvent donné d’y entrer un tout petit peu. La finalité de
toute vie religieuse est donc partiellement atteinte. Donc pas question de
générer des débats théoriques stupides
sur nos vécus différents. Ce genre de querelles ne devrait
avoir aucune place en nos réflexes religieux profonds. C’est de l’idéologie religieuse… La pire qui soit parmi tant
d’autres.
Notre Sainte Bible, aussi sacrée qu’elle soit est un livre, un bouquin. « Un moyen »
au service
d’une « finalité » qui est l’entrée de chacun dans « Le Royaume ». La lecture que je vous en propose n’est aussi
que de l’ordre des moyens vers la même finalité, sans aucunement prétendre à la
sacralité. Donc prudence… Si la
finalité est initiée en vous, observez bien vos ressentis. Si
une déstabilisation perturbatrice se manifeste, ne me lisez pas.
Le « Bureau-Chef » vous invitera à y revenir, plus tard, peut-être et
seulement s’« IL »
l’estime profitable pour vous.
Comme promis, évoquons
le jardin d’EDEN, ADAM et ÈVE, la célèbre affaire de la pomme, et à suivre
CAÏN et ABEL. Mais en nous
situant très volontairement à la connexion entre notre monde matériel et
temporel d’une part (… 13,7 milliards d’années d’existence,
dixit la cosmologie actuelle, mais vue de notre tout petit « perchoir »
en notre galaxie, parmi les milliards de galaxie de notre univers, lequel n’est
probablement pas le seul), et celui Du CRÉATEUR totalement
immatériel et atemporel d’autre part (... le temps et l’espace réduits à zéro,
en permanence, mais « LUI » restant créateur de chaque
microseconde et de chaque atome
constitutif de nous-mêmes).
C’est
à une sorte d’explosion de nos modes de pensée que je vous convie. Explosion
vers le haut… ! Explosion
provoquée par le surgissement très lent mais très puissant de notre deuxième
intelligence, celle que « LE » CRÉATEUR propose
incessamment à la cervelle de chaque être humain.
Nous, les chrétiens depuis notre K.T., parlons de
« l’intelligence
du cœur ». La science
nous indique dorénavant sur quel mode fonctionne cette sorte d’intelligence
cachée. Pas question pour les scientifiques de prétendre nous expliquer le « pourquoi ? ». Mais concernant le « comment ? », il est dorénavant prouvé en
laboratoire que le CERN de Genève place les agnostiques forcenés devant un gros ménage à pratiquer dans la
bibliothèque de leurs postulats.
Sois équitable « pépé », les religieux
« du Livre » (… pas tous !) ont également quelques révolutions
à initier, mais dans la découverte d’une
dimension universelle, fondamentale et accessible à tous de
« La Fraternité Humaine ». Dans cette révolution, DIEU ne veut pas de
perdants… Uniquement des gagnants émerveillés de l’être !
« … Que tous soient un, comme TOI et MOI
sommes un », dixit « Notre Grand Frère ».
OUI, chacun constate qu’il est. Ce constat est tellement constant en son évidence
matérielle et temporelle, que la question de « LA SOURCE » de cet
être, en est oubliée. Nous n’y pensons que face au danger, quand s’approche la
crainte de la souffrance et de la mort, donc l’éventualité de ne plus
« être ». « ÊTRE »
est le plus souvent une sorte de routine immuable,
subie mais vitale.
Un
regard vers le passé… (Qui n’existe plus sous le regard de DIEU.
Seuls restent les cumuls des résultantes de nos choix, individuels et collectifs,
face à « que TA VOLONTÉ SOIT FAITE… » )
- Depuis la nuit des temps cette question « fait
désordre » quand elle
émerge de nos profondeurs. Pour les ethnologues, elle marque la frontière entre
les singes (… des Bonobos, dixit la génétique actuelle) et les tout premiers Humains. C’est
l’apparition des rites funéraires, qui pose une borne dans cette évolution. Ces
rites sont les marqueurs de pratiques religieuses et des règles sociales que
notre espèce commence à développer pour sa survie (pensée développée par René
GIRARD. Voir «René GIRARD (1) »,
et « (2)»). Cette évolution en sa forme biologique seulement (et
aucunement spirituelle avec un peu de recul…), a été identifiée comme telle il y a fort peu. DARWIN (Il
vécut de 1.809 à 1.882 et causa beaucoup d’insomnies au Pape PIE IX …) fit exploser
cette forme de bombe scientifique, philosophique (…et spirituelle seulement pour
les « cramponnés à leurs propres certitudes ») vers 1.840.
- Mais très longtemps avant lui, comme après, tant
chez les scientifiques que chez les religieux, le choix
entre « UN CRÉATEUR » ou « UN NÉANT » qui ne se
reproduirait que par « autogenèse » était identifié en deux familles
de pensée, donc d’intelligence. C’était une question
de RAISON ou une question de FOI,
et défense de franchir l’une ou l’autre
des barrières, sous peine d’exclusion, de bûcher ou plus récemment
d’hôpital psy. Pour
les matérialistes se postuler « raisonnables » était justifié par la
science. Pour les croyants de toutes familles,
« La FOI » n’est aucunement déraisonnable, et ce qui est inaccessible
à notre raison constitue un univers de mystères, divins, qui nous seront
accessibles, peut-être, après notre mort.
Ces débats (… toujours actuels !) et les
affrontements érudits et séculaires qui y sont liés, postulent l’invariance du temps, son immuabilité incontestable
sous nos regards quotidiens. Or ce postulat a
explosé ! Il est devenu totalement ringard !
- Un « fil
rouge » existe dans notre Sainte Bible. Il ne cesse de nous
suggérer une double
compréhension de toute la création. « LA CRÉATION » nous est décrite comme l’œuvre de DIEU, en toutes
ses formes. Elle nous est affirmée comme « étant bonne… ». On y trouve
le récit de toutes les aventures possibles à notre espèce, des plus belles aux
plus barbares. Les prophètes, porte-paroles de DIEU, et parfois visionnaires du
futur, n’y sont pas rares. Le temps y est présent en la chronologie historique des
récits, laquelle peut nous suggérer que DIEU n’en serait que spectateur. Il
est devenu possible à notre époque surtout, de penser que Le CRÉATEUR ne
s’occupe pas de Sa Création. Et qu’ « IL » nous laisse nous
débrouiller seuls face aux conséquences de nos pseudo-intelligences, y compris la gestion de nos pétards
atomiques.
- Il y a 20 siècles, un charpentier de Nazareth s’est révélé comme le plus grand révolutionnaire de toute
l’Histoire humaine (…en
comparaison, toutes les autres célébrités ne sont que des marionnettes, souvent
ridicules). Il s’est affirmé « Fils
de l’homme » d’abord, puis « DIEU LUI-MÊME », ce qui lui valut
sa condamnation immédiate à mort, prononcée par CAÏPHE, l’autorité religieuse
suprême. JÉSUS avait prophétisé cette exécution. Il avait promis sa
résurrection, et ils furent nombreux alors, comme ils le restent aujourd’hui,
ceux qui attestent la réalisation de cette promesse fabuleuse. Il avait affirmé « …
je suis venu pour accomplir les Écritures » Un des ses
« ordres » finaux fut est reste « … allez leur
dire que Le Royaume EST là ». (Présent de l’indicatif…) JÉSUS révolutionne surtout l’ordre temporel par le
témoignage de La Puissance Divine qui s’y cache à chaque seconde…
En nos
quotidiens, on a beaucoup trop négligé cette dimension fondamentalement
« atemporelle », du témoignage de JÉSUS. Et on continue à y faire
obstacle, sans même nous en rendre compte…
- Saint AUGUSTIN demeure un penseur religieux fabuleux,
génial… Un de mes grands enfants m’a offert à Noël 14 (…
comme par hasard !) un condensé de ses
méditations sur le temps et la création. Il écrivait ça entre 390 et 430. Face
aux calendriers, il était donc beaucoup plus loin d’EINSTEIN que de JÉSUS.
Savourez les intuitions profondes de cet
immense penseur chrétien :
«(Le
Créateur…) ne veut pas
tantôt ceci et tantôt cela… tout ce qu’il veut, il le veut une seule fois, tout à la
fois et toujours… il n’arrive jamais qu’il veuille ce qu’il n’a pas voulu, ou
qu’il ne veuille plus ce qu’il voulait auparavant… une volonté changeante
n’est pas éternelle, or… Dieu est éternel… Dieu n’a pas produit ses créatures
par une nouvelle volonté… sa connaissance n’a
rien qui soit sujet à la loi du temps… »
J’ose souvent penser, et même écrire ici, que notre
dogmatique catho, aussi majestueuse
qu’elle reste, et féconde qu’elle fut, s’est trop souvent construite par
des empilements sur la loi du temps, face à des contraintes
« stratégiques » de pouvoir politique. Son « fixisme » face
aux avancées scientifiques, me semblait une sorte de suicide collectif jusqu’à
l’arrivée de FRANÇOIS 1er au Vatican (… je
ne parle évidemment pas de François le 3e, à l’Élysée de « La
Fille Ainée de l’Église catho » ! Ce suicide durera-t-il… ? Je
le crains, hélas.)
Osons, en notre 21e siècle, poser
les bâtons de dynamite dans ce mur du « fixisme ».
Et osons allumer les mèches une à une :
- Pour DIEU, la création est un acte unique,
totalement « concentré » en une abolition totale du temps (…je
ne perçois pas de différence avec l’intuition augustinienne… Mais j’admets ma
possible appartenance à l’escadrille des gâteux définis par Michel AUDIARD).
- Le temps est objet de création. Il n’est que
le champ d’expression de « La Divine Liberté » que LE CRÉATEUR
propose à chacun de ses enfants humains, quelles que soient leurs cultures (…
Karl Barth dixit : « DIEU veut notre divinisation ». Si JÉSUS est
le 1er né d’entre les morts, c’est bien pour que nous soyons les
suivants).
- La création en toutes ses dimensions visibles
et matérielles (…dont chaque « ÊTRE » humain), n’est qu’une « bulle »
de
temporalité, depuis son origine (… le
Big-bang pour notre univers. Mais possiblement pas pour les autres, car les
univers seraient multiples. Probablement une dizaine environ…) et jusqu’à sa fin (… une extension spatiale
tellement vaste que le 0°K y règnerait et que toute activité moléculaire, donc
toute forme de vie y serait impossible. Tout n’y serait que
« minéral ». Possible
aussi que DIEU interrompe « Son » flot d’énergie incessamment
créatrice de tout, y compris de l’espace et du temps).
- On évalue actuellement à environ 300.000 ans la durée de vie cumulée pour
l’espèce humaine. Les rites religieux ont donc sensiblement la même
antériorité. Mais ce fut au bout de
(7.000.000 millions d’années – 3.800 ans) environ que notre patriarche ABRAHAM
proclama LE DIEU CRÉATEUR UNIQUE (… 3.800./7.000.000= environ 0,000543 %.
Pour nous, aujourd’hui, c’est comme du présent, sacrebleu !)
- Tous les initiateurs des religions actuelles, tous
les livres sacrés, tous les prophètes, sont apparus et continuent à se
manifester le plus souvent par des successeurs, dans cet espace temporel minuscule.
UN SEUL a osé proclamer, et continue à proclamer, que « SA »
mort et « SA » RÉSURRECTION
sont l’image
fondamentale voulue par LE CRÉATEUR pour toutes
ses créatures au moins
humaines.
- Il s’appelle JÉSUS
et sa réalité historique, matérielle
d’il y a 20 siècles, ne reste niée que
par quelques attardés de la variété « super brontosaure ».
- Jusqu’au
grand ALBERT (…EINSTEIN,
pas le vénéré St Albert le Grand),
l’écoulement immuable du temps restait un postulat infranchissable dans toutes
les intelligences humaines. Seuls les mystiques, les « illuminés », les
« dérangés » osaient parfois franchir la barrière. A leurs
risques et périls, surtout face aux autorités religieuses de toutes tendances.
Car le syndrome de l’inquisition n’a pas sévit que chez les chrétiens. Le
bannissement d’ABRAHAM relève de la même logique. Les fuites aux déserts de
tant de grands mystiques dito. Les vagues d’émigration en nos 20e et
21e siècles y ressemblent aussi. Des familles de chrétiens qui fuient
l’« état islamique » et ses décapitations forcenées illustrent se
triste rejet, par des barbares, de la
primauté absolue de l’incessant CRÉATEUR de tout, depuis la totale
atemporalité qu’il nous invite tous à partager, incessamment, dès ici-bas.
- Avec EINSTEIN,
une « Révolution Mondiale » commence.
Qui reste en cours quand j’écris ces lignes. ALBERT était de culture
chrétienne et il ose franchir la
ligne rouge du temps… (Voilà un exemple de magnifique
liberté de penser dont nos « CHARLIE » actuels devraient prendre de
la graine. ALBERT était totalement hors du
« politiquement correct » !)
Il commence à nous expliquer que le temps n’est pas une constante immuable, que la vitesse de son
écoulement peut varier d’un observateur à l’autre. Aux créationnistes
que nous sommes, lecteurs de La Bible comme lui, il indique que le temps est objet
de création. Il confirme que ce temps est contractile et peut disparaitre.
- Ses continuateurs, surtout ceux de Genève, nous
confirment aujourd’hui qu’il peut s’annuler, (… ce qui, pour des particules
énergétiques dont nous sommes constitués implique la contraction de l’espace à
zéro).
La lecture « fixiste » de notre Bible,
quand elle est priante et méditative, reste évidemment toujours fructueuse et possiblement
« sublimante ». Comme elle le fut au long des siècles. Mais il convient d’y intégrer cette élasticité du temps, variable pour chaque lecteur, et simultanément
surtout sa contraction à zéro pour LE
CRÉATEUR unique et toujours à l’oeuvre.
- Cependant, depuis ABRAHAM, donc a pratiquement rien
face au temps écoulé depuis l’apparition des premiers humanoïdes, comme en une
sorte d’éternel présent face au « calendrier global » de notre
espèce, DIEU
s’exprime par ses prophètes et ses
scribes inspirés. « IL » nous aide à formuler notre réponse à toutes les questions
dites existentielles. « IL» le fait de manière efficace car fédérative,
unitive dans nos diversités, génératrices et protectrices de la vie.
« IL » le fait en un langage accessible
à nos intelligences de toutes les époques, tant celles d’il y a 3
millénaires que celles d’aujourd’hui. Et c’est toujours
« LUI » qui est à l’œuvre en nos « êtres », tant le vôtre
et le mien que celui d’EINSTEIN.
- Parallèlement, Satan est également à l’œuvre pour
brouiller NOS réponses à son profit. DIEU le laisse agir en limitant
certainement la casse, mais en laissant chacun totalement libre de ses propres
choix.
Pour
l’avenir :
- Je vous « propose »
les correspondances suivantes. Osons les laisser résonner aux tréfonds de nos
« intelligences du cœur »… :
- ADAM,
c’est nous messieurs, tellement « paumés » tant que nous n’avons pas
trouvé « LA Princesse » révélée à notre cœur, en partage total
de nos « Êtres ».
- EVE
c’est vous mesdames, c’est notre épouse, celle qui nous donne les enfants que
nous fabriquons ensemble, par « procréation »
communionelle, ce qui exprime bien la présence active de DIEU en cette
fécondité. Nous sommes ainsi
« Co-Créateurs » et plus seulement « Pro-… », mais cette dimension « sublimant » proposée par
DIEU à tous est hélas très mutilée et refoulée.
- Le jardin d’Éden est toute notre
splendide planète bleue. Et nous constatons presque chaque jour de
nos vies combien sont nombreux, hélas, ceux qui s’en verrouillent la porte, car
les serpents sont aussi objet de création. Nous vivons avec eux. Les formes de
morsures sont très variées. Beaucoup d’humains choisissent, librement, le mode
de vie « serpentesque… »
- CAÏN et ABEL
sont les images
de tous nos ascendants et descendants. Ils sont aussi nos images. Chacun
hérite des qualités, défauts, programmations de ses ancêtres. Et chacun modifie
à longueur de vie le patrimoine génétique reçu de ses parents et à transmettre
à ses enfants.
Le sachant
ou pas, le voulant ou pas, nous sommes
tous constructeur de l’immense famille divine déjà dans l’éternité et sous le
regard du PÈRE. Nous sommes tous participants, en mode émission ou
réception, de la « civilisation de l’Amour », mais celui de
DIEU. Celui qui donne la vie.
- Avec le
langage scientifique actuel, je vois les correspondances suivantes :
- LE PÈRE est la source
de l’énergie quantique, maintenant dite « scalaire ». Cette source,
constitutive de tout est extérieure à notre univers. Elle est hors de notre
temps et hors de notre espace. Nous ne pourrons jamais l’identifier ou la
localiser (… Dans son ouvrage récent intitulé « LE TEMPS ET SA
FLECHE », Etienne KLEIN chercheur au CNRS et à GENÈVE, indique que cette
recherche impliquerait probablement la construction d’un accélérateur de
particules de dimension galactique… ! Quelles que soient les voracités des
impôts, le financement est impossible)
- LE FILS fut et reste LE PÈRE venu s’incarner en notre espèce,
sans pour autant quitter Sa Nature Divine et son atemporalité totale, ni fuir
ou renier nos limites matérielles et animales. Parfaite image de nous-mêmes en
cette terre, il est aussi la parfaite destinée à laquelle LE PÈRE (… et LUI « Son
FILS ») nous appellent dans une éternité déjà présente, mais dont nous ne
cessons pas de verrouiller l’émergence sous la pression du « Prince de ce
monde » (… le titre de « Prince » confirme la réalité d’une royauté
qui lui est supérieure).
- JÉSUS est ainsi « Le Pont » entre
notre naissance ici bas dans l’intelligence seulement matérielle, ascendante,
et l’intelligence descendante qui ne nous est accessible que très partiellement,
dans la mesure de notre participation consciente, ici-bas, à notre éternité.
- JESUS est l’image
éternelle d’ADAM, maître d’ouvrage de la mise en œuvre effective de La
Volonté du PÈRE, et racine atemporelle
de toute la création donc de l’espèce
humaine.
- L’ESPRIT se manifeste en nos quotidiens par l’énergie
scalaire, incessamment constitutive de tout « ce qui est » dans
l’univers, nous y compris. « IL » nous pousse à vivre de « LUI » et
par « LUI » mais de manière consciente. « IL » nous
appelle à croitre en l’intelligence descendante, la sienne, qui se donne à nous
en mode réception.
L’ESPRIT est l’incessant incitateur
à la croissance de notre communion universelle avec LE CRÉATEUR.
WAOUH … ! Mais « Le Péché » dans tout
çà… ?
(A suivre…)