CATHO-CINDYNIQUE (3)
Il était devenu, pour des majoritairement « homo-technicus » comme moi que le monde matériel et
bien concret est toujours en interaction avec un monde immatériel …
possiblement déterminant. Dans le « P.Q. » ambiant, je trouve cette
évolution remarquable et savoureuse (Il subsiste hélas quelques brontausaures obstinés).
Deux mondes cohabitent… Les
cindyniciens parlent de deux « espaces ».
En vous invitant à considérer ces deux
espaces comme deux champs de forces à dominantes
distinctes. Découvrons ce qu’ils sont.
L’espace du danger fut le premier décrit par les cindyniciens. L’espace ontologique lui fut associé. Ces
deux espaces sont reliés par l’instinct de survie qui habite tout organisme
vivant. Le pont entre
ces deux espaces est la finalité du système. Elle est nécessairement commune
aux deux espaces constitutifs. Cet axe commun, les cindyniciens
l’appellent l’axe « téléologique »
Une quatrième étape devient alors concevable.
Un espace est habituellement constitué par trois
plans définis par trois référentiels. Les cindyniques définissent ainsi
l’« hyperespace » à cinq dimensions que voici :
( Me situant
résolument en « Catho-Cindynique »,
essayons de transposer les appellations habituelles, mais en restant fidèles
aux concepts de cette science. Le monde religieux, le monde catholique,
sont également des systèmes. Notre finalité transcendante et
« eschatologique » ne nous dispense surtout pas de cette
appartenance. Hurler au scandale face à cette sorte d’outrage est, il me
semble, une forme subtile de blasphème à l’ « Incarnation » de
notre JESUS).
Ø Tout d’abord, à gauche, l’espace du danger peut être
transposé :
Ø L’espace
ontologique, à droite, devient :
Ø Enfin, et surtout, dans
cette transposition, l’axe des finalités, le « Pont », mérite d’être identifié. C’est évidemment la personne de Notre
Seigneur JESUS. L’éternel vivant.
(à suivre…)