ACTE (3)

 

 

 

 

Mon « Ex » s’est montré prudemment intéressé… Il m’a donné son « feu vert » pour le projet.  Je sais que ma protestation recoupe la sienne, mais il se tait. Comme moi, il souffre de toutes ces affaires de « PANIER DE CRABES ». Mais je suis un laïc. J’ai donc non seulement le droit, mais aussi le devoir et surtout la « Liberté » de pousser mes coups de g  Lui est clerc ordonné… Nous avons débattu des frontières trop contraignantes à mon point de vue, de la « Sainte Obéissance ». Comme il se doit, il a protesté en affirmant une totale liberté toujours possible. Au niveau spirituel qui est le sien, c’est une réalité quasiment eschatologique.  J’ai ajouté, me concernant moi qui ne suis pas à ces altitudes, la frontière  de la « Non Moins Sainte Désobéissance ». A son propos et comme en écho, je  pense à St PIERRE qui ose affirmer au Grand Prêtre, récent assassin en chef  du CHRIST : « … Il vaut mieux obéir à DIEU qu’aux hommes… »

 

Soucieux de ne pas créer des tensions, voire des difficultés relationnelles, j’ai immédiatement rencontré l’ami prêtre « chef officiel » du secteur. On appelle ça dorénavant « un pôle paroissial » (Une variante du « pôle emploi »…  mais pour les chrétiens… Illustration  du « Politiquement Correct » ambiant et obligatoire…) Mes propositions ne l’ont pas fait bondir. Il m’a même semblé qu’il les épouserait volontiers, au moins partiellement. Mais la prudence… toujours la prudence ecclésiale… J’ai reçu un accord véritablement amical, aucunement engageant pour les structures paroissiales qui demeureront ainsi en observation des résultats. Deux gestes nettement positifs doivent être relevés :

- D’abord le prêt d’un bouquin de grande qualité en relation constante avec « le devenir de l’Eglise » du 21e siècle. Je l’ai descendu lors du WE dernier. Il mérite du recul, de la méditation, et des confrontations avec les enseignements que la vie  m’a très concrètement prodigués. Les auteurs sont effectivement des gens très érudits et de grande culture. Ce que je ne suis pas. Nous ressentons donc les choses spirituelles sur des tonalités très, très différentes. Mais qui sont heureusement le plus souvent complémentaires.  Mais pas toujours, notamment par manque d’auto lucidité quant à la perversité du syndrome des « Sages et Intelligents ». Bravo cependant… Je partagerai avec vous des passages de ce bouquin (Une  Nouvelle Chance pour l’Evangile : Vers une Pastorale d’engendrement – Les éditions de l’Atelier)

- Ensuite une invitation à proposer l’aventure spirituelle et mystique exposée dans « ACTE (2) », publiquement, à l’occasion d’un rassemblement diocésain consacré à « La Nouvelle Evangélisation ». Cette sorte de forum se tiendra en septembre prochain. J’ai donné mon accord de principe. Ma liberté d’expression sera respectée j’espère.

 

C’est dans cette perspective, d’une dénonciation publique et dans un cadre très officiel, de ce que je considère comme une déviation scandaleuse dans nos comportements coutumiers,  que je vous sers, en avant première, le texte qui m’est venu au cœur. Il convient de le laisser s’enraciner… Le « Bureau-Chef » ne manquera pas de m’adresser ses probables observations ou bémols… Il est possible aussi que ces bémols interviennent par les « voix officielles »… On verra. Je vous tiendrai au courant…

 

Allons-y pour ce tout premier jus :

 

Bien chers amis :

 

Tous les jeunes de mon âge ici présents connaissent le célèbre refrain : « … Tout va très bien, madame la Marquise… ». Appliqué à notre Saint Mère l’Eglise Catholique, j’avoue qu’il me tarabuste. Une très forte majorité de nos contemporains en restent paisiblement au refrain : « … C’est certain ! Tout baigne… la puissance de l’Esprit nous habite depuis notre baptême. Notre confirmation l’a pleinement amplifiée. Or DIEU ne saurait se tromper, ni nous tromper… Donc tout va très bien puisque la perfection n’est pas de ce monde. Nous sommes tous pêcheurs… CQFD ! » J’ose avouer pour ma part que « … je déplore un tout petit rien… ». Après les écuries de la Marquise, il me semble évident que le Christianisme est en flamme, au moins en Europe. Les « … tout petits rien… » à déplorer stérilisent les efforts généreux des pompiers valeureux que nous sommes tous, ici rassemblés. Souvenons-nous de l’alarme sonnée par le pape PAUL VI quand il osait proclamer que : « LES FUMEES DE SATAN SONT ENTREES DANS L’EGLISE ! » Elles empestent de plus en plus. Et le pire est que nous nous y sommes habitués, elles nous semblent inévitables. Elles font désormais partie de notre paysage quotidien. Essayons de les identifier si vous le voulez bien.

 

Je vous propose 3 composantes parmi tant d’autres. Elles  conduisent à un résultat global scandaleux d’abord mais « annonciateur » peut-être. Et je terminerai en proposant une cure de désintoxication.

3 composantes d’abord :

- La première : Le syndrome des « sages et intelligents ».

Chacun sait que JESUS est (… non, pas était !) humainement parlant au « summum » possible de l’intelligence et de la sagesse. Or il  dénonce explicitement ceux qu’il appelle « les sages et intelligents ». Le Grand Prêtre de l’époque, et la quasi-totalité du tribunal qui condamna le CHRIST à mort, étaient des prototypes de « sages et intelligents ». J’ose affirmer que 20 siècles plus tard, une chape de plomb à fortes dominantes de sages et intelligents gouverne le christianisme. Les notions de « pensée obligatoire », de « politiquement correct », de « leadership », en provenance des modes habituels du monde civil contemporain, ces notions ont envahi l’Eglise au point d’y être devenues normales, enseignées, recherchées, promues même.  Bien heureusement a contrario,  de nombreux Evêques, prêtres, religieux et religieuses, laïcs perçoivent nettement le décalage. Pour des adorateurs, des priants, des contemplatifs, des familiers de la lecture quotidienne de « La Parole », cette perception devient vite quasi sensorielle. On sent bien la différence entre JESUS qui parle ou des locuteurs même en hautes fonctions qui se gonflent le nombril.  On perçoit nettement si « … ça  sent ou ne sent pas l’AMOUR … ». Si ça sent ou ne sent pas cette bonne odeur du CHRIST dont Saint PAUL nous dit que chacun doit la répandre partout sur cette terre.

- La deuxième, comme en conséquence.

JESUS avait pourtant été très explicite quant aux conséquences de cette dérive. Les « sages et intelligents » sont enfermés dans les illusions de leur orgueil. Il leur est impossible de  mesurer la pleine signification de la louange joyeuse de JESUS vers le PERE quand il s’écrie « … je te bénis PERE… ce que tu caches aux sages et intelligents, tu le révèles aux tout petits devant toi… » Le critère immédiat de discernement doit donc être la simplicité, l’humilité, l’accessibilité à tous. L’intellectualisme ambiant est un blasphème à la justice divine. Car DIEU, en sa justice Paternelle infinie,   ne saurait mesurer la sainteté par nos Q.I. Face au CHRIST JESUS, le cerveau d’EINSTEIN ne pèse pas plus lourd que celui du SDF local.

Une ségrégation de fait s’est ainsi imposée très progressivement. Face aux décisions pratiques, et quotidiennes, nécessaires à la vie de nos communautés, vie spirituelle s’entend, vraie vie donc qui devrait gouverner toutes les autres, le critère pratique de discernement n’est plus l’ESPRIT-SAINT. Esprit du CHRIST qui s’exprime librement à travers les humbles comme les puissants, les « nonos » ou les énarques, les simples baptisés comme vous et moi ou les docteurs en théologie. Le critère de discernement, toujours sous-jacent, est devenu la préservation d’une vérité unique, postulée nécessairement alignée sur « La VERITE ». Or nous savons bien que cette « VERITE absolue »  ne peut être que le CHRIST JESUS en personne. Elle a donc une grandeur eschatologique. Elle doit être fortement relativisée en notre matérialité et temporalité. Cette belle volonté d’unicité, croisée avec l’intellectualisme ambiant obligatoire  est ainsi devenu beaucoup trop souvent le masque de préoccupations de pouvoir bassement temporel et matériel. A l’image du monde politique et de moins en moins à l’image « Du Royaume ».

Ainsi, les saints (et il y en a….), les nombreux en passe de recevoir cette sainteté (et il y en a beaucoup plus…), tous ceux qui cherchent le vrai bonheur sans pouvoir identifier sa seule véritable source, tous sont leurrés ou condamnés au silence, au placard, ou aux oubliettes. Et avec les meilleures consciences qui soient.

- La troisième en conséquence globale des 2 précédentes :

Chacun sait, surtout nous Chrétiens, que l’énergie primaire qui anime tout l’univers est « l’AMOUR DE DIEU ». La science contemporaine elle-même, certes en son langage, ose dorénavant le suggérer.  Or le sens de la « circulation de l’AMOUR TRINITAIRE » en notre Eglise Catholique est presque totalement inversée, et la pesanteur de cette inversion s’accroît.  JESUS, par Son ESPRIT, a lancé « SON EGLISE ». Après 20 siècles, elle est très majoritairement devenue l’Eglise des hommes qui prétendent identifier leur gloire à celle de DIEU.  JESUS a confié aux chrétiens la mission d’annoncer que « Le Royaume est tout proche… » Nous prétendons très majoritairement construire un royaume, concurrent de celui des hommes, bien établi sur cette terre. JESUS nous a promis que  l’ESPRIT nous enseignerait toutes choses, nous lui avons substitué nos facultés de théologie en prétendant que ce serait plus sûr. Comme premier pape, JESUS a choisi un simple patron pécheur sur le lac de Tibériade. Depuis belle lurette tous nos « monseigneur » et « éminence » ne fréquentent plus que le maniement des idées. Sauf Jean Paul II,  qui lui, fut ouvrier dans une carrière de pierre le pic à la main  et témoin de la mort au travail d’un de ses camarades. Ce contraste me semble très signifiant. Et finalement, l’Eglise De JESUS est devenue une Eglise POUR JESUS, mais seulement quand elle n’a pas d’autres choses plus urgentes à faire.

 

Le résultat global :

- En son aspect scandaleux d’abord :

Nous fonctionnons dorénavant très majoritairement sur des modes de « management » copiés sur ceux du monde de l’industrie, du marketing, de la finance et de la politique. La prière est devenue rare. Le prophétisme n’a plus d’existence officielle. Il n’en est pas question dans le Code de droit Canonique. Ce serait normal puisque « … nous sommes tous prêtres, prophètes et rois par le baptême… » ! Les enseignements sont devenus des explications de texte, très rarement des explications de vie. Les guerres de territoires spirituels ou d’influence, au nom de la défense de la structure institutionnelle sont toujours sous-jacentes, à intensité croissante dans la hiérarchie. Dans le civil, la filière énarchique est manifestement payante pour une carrière, des filières similaires rivalisent chez nous. Les bûchers ayant trop fait désordre, il n’y a plus de mise à mort, mais on exclue, on excommunie de fait, on isole, trop souvent on assassine spirituellement parlant ceux qui n’obéissent pas. Les Saintes « LIBERTE »-«  VERITE » et » CHARITE » étaient moteur, vecteur de l’Amour divin à travers chacun. Elles sont devenues des concepts abstraits, lointains, théoriques, inaccessibles en cette terre. Très globalement, j’observe presque partout en nos milieux d’Eglise, la célèbre prudence ecclésiale, de moins en moins parfumée à l’encens, mais en masque doucereux d’un gigantesque « PANIER DE CRABES ». Comble des combles, les vacheries qui s’y développent, par leur impunité statutaire, sont généralement plus cruelles que dans le monde civil. Nous avons oublié le primat absolu du seul commandement nouveau que JESUS nous a donné. Le seul, et quelques heures avant le début du carnage infâme qui le conduira sur Sa Croix. Le « … Aimez-vous les uns les autres comme JE vous ai aimés… » est devenu un paravent, une affiche, un miroir aux alouettes. Je constate avec une immense tristesse qu’il est souvent mis en œuvre plus spontanément, avec plus de réalité factuelle dans mes relations de travail. Nous nous proclamons disciples du DIEU D’AMOUR, et nous donnons le spectacle d’un gigantesque panier de crabe, bien clean, bien soft, bien aseptisé, mais terriblement efficace. Chacun sait que la souffrance est rédemptrice. Que notre monde est trop confortable. C’est donc charité chrétienne que  bien charger la croix de son voisin. Surtout pour le bien de l’Eglise… DIEU saura en tirer du bien, comme d’habitude !  Cette contradiction de fond, quasi blasphématrice,  fait fuir tous ceux qui nous observent de l’extérieur. Ils crient aux fous ou à l’usurpateur. Et ils ont trop souvent raison.

- En son aspect « annonciateur »  ensuite, mais seulement si nous le voulons bien :

Nos contemporains sont désespérés. Mais le PERE maintient en tous ses enfants le désir de « Son Vrai Bonheur ». Déçus qu’ils sont par l’institution ecclésiale, la Sainte Personne de JESUS les travaille tous en leurs profondeurs. Certes avec plus ou moins d’intensité, mais le Saint Nom de JESUS est maintenant connu sur toute la planète. Et la Sainte BIBLE demeure le best-seller absolu de tous les bouquins de l’Histoire.

L’ESPRIT nous a donné JP II avec ses trois grandes prophéties. Je vous les remémore : 1/ « N’ayez pas peur… ouvrez vos cœurs au CHRIST… » 2/ « La Nouvelle Evangélisation » et 3/ «  La Civilisation de l’AMOUR ». Il me semble que la convergence de ces 3 prophéties est flagrante, dynamique, irrésistible car DIEU peut tout. Il est la puissance totale et absolue.

Et voici que très concrètement, en complément opérationnel des fraternelles incitations de notre JP II, depuis une bonne vingtaine d’années, de très nombreux coeurs de « tout petit devant DIEU », dans le monde entier, les oubliés, ceux qui ne comptent pas, ceux qui croupissent dans leurs oubliettes, ceux qui ont été condamnés au silence et au placard, entendent chuchoter en réponse à leur prière amoureuse et fidèle «…MON ENFANT CHERI… DONNE-MOI TES DESIRS… J’EN FERAI MON AGIR… » 

  La cure de désintoxication :

Prétendre évangéliser sans combattre d’abord le syndrome « panier de crabes » est une utopie qui restera suicidaire. Il faut combattre ce syndrome en chacun d’entre nous d’abord, et dans nos communautés ensuite, mais en mode de débordement de l’Amour Divin à travers nos pauvres personnes. Sans ce combat préalable, nous continuerions à nous comporter comme des pompiers pyromanes. Or le mal est ancré dans l’Eglise par SATAN lui-même, à une profondeur telle que prétendre le combattre par des séminaires, des colloques, des commissions, des conciles régionaux même, ne conduirait qu’à multiplier les occasions d’affûter les pinces du panier. Non, il s’agit d’une forte résurgence de « l’Eternel Combat » évoqué par Saint JEAN. Seule la puissance de DIEU peut vaincre. Aucun de nous ne fait le poids, c’est impossible.  Mais à DIEU, tout est possible. Et « IL » se cherche des hommes et femmes de Désir, qui osent épouser « Son Désir d’Amour à LUI », en vue de cibles bien concrètes et bien vivantes, aussi perverses qu’elles soient. Car elles aussi sont aimées de LUI.  Ainsi, en écho reconnaissant à notre cher JP II :

1/ = OSONS ne plus avoir peur… de rien… La Croix est définitivement et totalement victorieuse. Pour chacune de nos éternités déjà commencées. 2/ = OSONS nous lancer dans la Nouvelle Evangélisation. Celle qui transmet de coeur à cœur l’Amour Divin préalablement reçu à haute dose, et qui désire impérieusement déborder vers nos proches. Débordement progressif, respectueux, fraternel, sans aucun jugement, dans l’acceptation et le pardon préalables de toutes les vacheries qui ne manqueront pas. 3/ Ensuite, OSONS communautairement nous lancer dans l’épandage généreux de la civilisation de l’AMOUR. Mais c’est du seul Amour Divin  dont il doit s’agir. Nos pauvres amours à nous, aussi beaux et nécessaires qu’ils soient ne sont que des minima très insuffisants, pollués, et totalement impropres à guérir notre pauvre monde. Et modestement, avec persévérance, après un combat intime, puis un combat en petit groupe qui se confortent et partagent les merveilles reçues directement de DIEU, puis des paroisses qui se laissent ainsi transformer de l’intérieur, par réception croissante des nombreux signes d’Amour venus enrichir nos messes. Et finalement par nos églises qui se vident redevenues trop petites pour que JESUS puisse y accueillir tous les souffrants en mal de guérisons.  Vous voyez qu’il s’agit simplement de rétablir le bons sens de la circulation de l’énergie amoureuse divine, maîtresse de tout l’univers, et d’entraîner fraternellement et respectueusement les sages et intelligents à une conversion libératrice dont ils ne soupçonnent même pas l’immensité du bonheur qui en résultera. Mais s’ils le veulent bien…

 

Pratiquement :

- La paroisse de …(Elle reste à définir)  dispose en son BLOG d’un chapitre intitulé « LE CLUB DES ASPI ».

- Ecoutez au plus profond de votre cœur de priant, d’adorateur, de vrai disciple caché et solitaire volontairement ou pas. N’entendriez-vous pas le chuchotement amoureux de DIEU ?

- Si vous ne discernez rien, même en écoute très attentive, c’est que l’heure n’est pas encore venue pour vous. Et ce silence ne signifie aucunement une sorte de dévalorisation de votre être face à l’Amour du PERE, de son FILS et de leur ESPRIT. Il signifie seulement qu’ils vous attendent sur d’autres routes. Celles, peut-être, où vous êtes actuellement engagés avec générosité. Car des choix s’imposeront probablement mais pas certainement.

- Si vous entendez chuchoter avec tendresse quelque chose qui ressemble à : «…MON ENFANT CHERI… DONNE-MOI TES DESIRS… JE VEUX EN FAIRE  MON AGIR… », alors seulement, prière encore, confirmation dans la prière… et début d’un débordement biunivoque d’AMOUR DIVIN dont la saveur sublime ne saurait tromper. Aussi salaud qu’il soit, SATAN ne peut pas simuler pareilles merveilles.

- Dès que vous sentirez que votre cœur est « mûr » (… l’ESPRIT vous le fera percevoir. Surtout pas votre nombril, votre seule générosité  ou votre enthousiasme) alors OSEZ adhérer au « CLUB DES ASPI » en formulant secrètement entre vous et La SAINTE TRINITE un voeu de  la forme :

« … Seigneur, avec Ton aide,

je fais pour un an (… renouvelable !) 

le vœu de l’Amour Fraternel venu de Toi

et à répandre à tout instant autour de chaque seconde de ma vie ».

 

Il convient de préciser des règles de sécurité envers l’intimité spirituelle de chacun. Car il s’agit de la mise en oeuvre bien réelle d’une sorte de « secret du ROI », véritablement désiré, suscité par « LE ROI » lui-même. Cette alliance strictement personnelle au départ est donc d’ordre totalement mystique. Le secret royal doit être garanti. Il ne peut être rompu qu’à l’initiative de chacun, et aucunement sous une pression collective.

- Le CLUB DES ASPI n’est aucunement matérialisé. Il est et demeurera mystique et virtuel, du moins tant que ses membres secrets ne désireront pas se réunir, ensuite, librement, de proche en proche, à leurs seules initiatives, pour s’enrichir mutuellement des merveilles reçues.

- Mais aucune structure, aucune cotisation, aucune liste… Rien que de l’AMOUR DIVIN partagé…

- Ce sera DIEU seul, ou par le relais d’un saint prêtre car il en existe, qui aidera chaque postulant dans son cheminement. Personne d’autre, sauf demande nominative expresse.

- Le BLOG n’est là que pour y proposer des pistes de méditations spirituelles, toutes organisées à puissance croissante autour de 2 thèmes : 1/ =  Identifier et combattre les fumées de SATAN    2/ = Le « Aimons-nous les uns les autre ». Je précise que ces réflexions sont celles d’un Evêque, grand prophète des années 70 à 2000.

- Par la suite, le BLOG sera aussi un lieu d’échange et de témoignage plus ouvert. Mais dans le respect des anonymats si les bénéficiaires désirent rester inconnus.

- Ensuite encore, l’Amour de DIEU saura inspirer les orientations et les actions, comme IL le fit dans l’Eglise primitive, avec tant d’efficacité : « … nous et l’ESPRIT-SAINT avons décidé… »

 

 

(… à suivre…)

 

DANIEL-KOKA